Enfin 2010 et les premières randonnées hivernales sur l'île !
Par PhE le mercredi 10 février 2010, 18:43 - Mer & Littoral - Lien permanent
L'article précédent du Blog ayant bouclé les parcours de l'année 2009, il est temps de passer à 2010 et de commencer les premiers compte-rendus de cette nouvelle année avec les premières randonnées hivernales insulaires : en ce qui me concerne, les seules saisons que j'avais pu connaître sur l'île jusqu'à présent pour pratiquer mes hobbies nature étaient printemps et été depuis longtemps, plus l'automne depuis l'année dernière. L'hiver me restait donc encore à expérimenter.
C'est chose faite avec ce début d'année 2010 et un séjour d'une quinzaine de jours, mi-janvier dernier, qui nous a permis de combler cette dernière lacune en nous laissant réaliser quelques parcours dans le Haut Cavu et en bord de mer :
Retour sur le sentier du ruisseau de Mela :
La Corse en hiver, cela change de la carte postale touristique estivale et du climat méditerranéen juin -septembre traditionnel : temps pourri et humide en cette période de janvier, avec, malgré tout, une température au-dessus de 10°C contrastant avec celle du reste de la France continentale aux alentours de zéro ! Mais, par chance, le mardi 12 janvier a été une belle journée qui nous a donné l'occasion, Nicole et moi, de revenir sur le sentier du ruisseau de Mela deux mois à peine après l'avoir abandonné à la Toussaint dernière...
Rien de bien particulier à dire de ce retour à la randonnée :
- Une visibilité extraordinaire par beau temps à cette époque qui s'affranchit des brumes de chaleur habituelles et permet de contempler des panoramas encore plus beaux
- Une température qui nous a permis de monter en tee-shirt !!
- De la neige jusqu'à basse altitude (1000 m) sur les crêtes de Bavella : c'est rare, d'autant plus que la météo s'est dégradée le soir même, la neige est retombée et le lendemain un petit tour dans le coin en matinée nous a montré des chutes neigeuses jusqu'à 600/700 m d'altitude
Ci-dessous, quelques photos d'illustration de cette petite virée...
Randonnée littorale à la tour de Sponsaglia et à Porto Novo Sud :
Le surlendemain de la virée précédente, comme il faisait toujours un temps pourri, nous décidâmes d'aller faire une petite exploration littorale dans des coins que nous n'avions pas l'habitude visiter l'été, pour cause de sur-fréquentation touristique, et nous commençâmes un peu au hasard par la partie Sud de Porto Novo.
En partant de Suartone, comme pour accéder à Rondinara, nous nous sommes retrouvés à explorer la piste carrossable qui emmène au domaine de Marina Rasciata depuis l'embranchement à gauche après les hameaux de la Rondinara. Cette piste permet d'aller jusqu'à l'entrée du domaine privé, mais nous sommes arrêtés juste avant, à l'entrée du sentier vers la tour de Sponsaglia. De ce point, il est très aisé et rapide d'atteindre la tour en une vingtaine de minutes : tour génoise ronde de granit à un étage du début du XVIIème siècle, il n'en reste plus que la base relativement bien conservée. Les vingt minutes se sont avérées plutôt cinquante ou soixante pour nous, un groupe de chasseurs locaux ayant squatté l'entrée du sentier et se livrant à moult fusillades empêchant les promeneurs de promener en paix et nous obligeant à faire un détour par une trace plus au Sud pour contourner leur position !!
Depuis la tour, belles vues sur la Palombaggia et les Cerbicales au Nord et sur toute la côte Sud avec la Punta di Rundinara et Punta di u Capicciolu... Belle vue aussi sur cette magnifique propriété privée de Marina Rasciata juste au Sud de la tour : quel people a-t-il ainsi réussi à faire construire ce palais dans ce coin de côte dépourvu d'habitations ? Et avec quelles bénédictions locales et nationalistes ?
Retour depuis la tour confirmé en vingt minutes, après déjeuner sur place. L'après-midi est consacré à trouver et explorer le sentier qui part de ce secteur vers Porto Novo. Il suffit de revenir 200 m sur nos pas sur la piste carrossable depuis le sentier de la tour pour atteindre l'extrémité SW d'un champ (?) : il n'est pas trop difficile de pénétrer dans ce champ et de trouver le départ du sentier une centaine de mètres environ vers le Nord à l'intérieur. Il est relativement bien tracé avec un démarrage vers l'W, puis une bifurcation vers le N à l'atteinte d'une sorte de col, pour descendre ensuite tout droit vers l'étang et la plage Sud de Porto Novo que l'on aperçoit très vite au loin.
Le sentier s'avéra d'une humidité incroyable en cette saison, à tel point qu'il ressemblait à un long marécage sur la plus grande partie du parcours. Curieusement, c'est à l'approche de l'étang qu'il redevint plus sec : en moins de 30 minutes depuis le champ, nous avons atteint le champ d'herbes qui entoure l'étendue d'eau précédant la plage Sud de Porto Novo.
Nous n'avons même pas eu le temps d'aller jusqu'à la plage, car la pluie menaçante nous a engagés à faire demi-tour. Retour par le même chemin, avec une grande partie réalisée sous une belle averse qui nous a pris en bas du col.
En conclusion : un lieu de petites balades faciles dont il est difficile de dire s'il est fréquenté l'été et pas seulement par les chasseurs ! Une occasion, à moitié ratée pour nous, d'aller voir ce golfe de Porto Novo qui reste assez sauvage tout le long de l'année, faute d'accès carrossable aisément praticable, et de visiter cette tour de Sponsaglia que nous ne connaissions pas. A peine de quoi occuper une demi-journée, mais des paysages qui valent tout de même le détour.
Les horaires de ces deux parcours depuis la piste de Marina Rasciata sont tous les deux d'environ 40 à 50 minutes aller-retour, jusqu'à l'étang pour la partie Porto Novo. Consulter la carte ci-contre à droite pour obtenir l'itinéraire complet de ces deux balades.
Randonnée littorale Sémaphore de Pertusatu - Embarcadère de Piantarella :
La météo, peu propice depuis le début du séjour, sembla nous sourire assez en ce 16 janvier 2010 pour nous laisser entreprendre le parcours d'un nouveau tronçon du littoral corse nous permettant de compléter la super-randonnée Campumoru - Pinarellu qu'il est imaginable d'espérer réaliser en bord de côtes presque toutes sauvages... Nous nous attaquâmes donc en ce début de belle journée à la traversée Pertusatu - Piantarella, depuis le sémaphore jusqu'à l'embarcadère au Nord de l'étang et de la plage. C'est la suite du parcours Campumoru - Pertusatu, que nous avons réalisé entièrement, par petits bouts, en 2009 et antérieurement !
Départ du sémaphore de Pertusatu vers 11 h 15 (pas plus matinaux en hiver que d'habitude !) pour essayer de tracer un itinéraire longeant le plus possible la mer en passant par le phare, puis la Cala di Labra : un sentier, marqué sur la carte IGN, devait permettre de se rendre jusqu'à la source captée de Cala di Labra et nous espérions une suite à ce sentier pour atteindre la cala suivante, Cala Sciumara. Le phare de Pertusatu atteint à 11 h 40, nous descendîmes au plus vite la sente, bien marquée au début mais qui se transforma rapidement en traquenard. La trace elle-même était tapissée d'un entrelacs de branches basses, qui nous donnait l'impression de marcher sur un trampoline, avec, en point d'orgue, des franchissements incessants de haies et de trous qui nous firent abandonner très tôt tout espoir de progression rapide. Au bout de 20 minutes, nous rebroussâmes chemin et eurent du mal à revenir rapidement au phare vers 12 h 15 après de multiples divagations dans de fausses traces en remontant. Echec, mais pas mat !
Comme alternative, l'examen de la carte nous incita à revenir vers le sémaphore et à prendre le sentier vers l'Est démarrant à l'épingle à cheveux de la route bitumée (interdite aux voitures) joignant le phare au sémaphore. Partant à 80 m d'altitude, cette piste, emprunte, en descente, un petit ravin au Sud d'un blockhaus et atteint rapidement une propriété privée qu'il faut contourner par le Nord à l'aide de ce qui est devenu un sentier. Celui-ci emmène jusqu'à la Cala Sciumara où nous arrivâmes vers 12 h 50, soit en 35 minutes depuis le phare. Belle crique fermée par des écueils et accessible par la mer grâce à deux passes marquées par des alignements d'amers artificiels sur la plage : cela serait tout de même étonnant que cette plage ne soit pas fréquentée en été, même si son accès n'est pas aisée par la terre ?
Après cette cala, on rentre dans la partie "merdique" du parcours ! Au lieu d'un vrai sentier littoral passant au Sud du hameau de Ciappili, le sentier remonte, au contraire, au Nord du hameau, en le longeant avant de se perdre dans les pistes et routes d'accès à la résidence... Il faut beaucoup de sens de l'orientation et une bonne carte d'une part, beaucoup de ténacité et d'audace d'autre part, pour pénétrer dans le domaine privé des résidences haut de gamme de ce hameau, éviter de s'égarer dans les allées et arriver à redescendre vers la mer jusqu'à retrouver le sentier de Sperone qui part pratiquement de la plage de Ciappili en contrebas du hameau. Il reste donc du boulot au Conservatoire du littoral pour nous négocier la mise en place des 650 mètres de sentier à équiper en bord de mer, évitant de traverser les résidences et faisant gagner 45 à 60 minutes de contournement aléatoire de ce piège à randonneurs (plus un peu de tranquillité aux résidents...). Satané détour qui nous a valu d'arriver au départ du sentier de Sperone à 13 h 50 (1 heure depuis la Cala Sciumara)...
Le sentier de Sperone commence par monter jusqu'à surplomber la mer d'une dizaine de mètres, en présentant, en se retournant vers l'Ouest, une très belle vue vers Ciappili et la côte, jusqu'au phare. Il parcoure une série de montées et descentes rocheuses, jusqu'au moment où il vient longer le très fameux "golf de Sperone" dont les 18 trous étaient en fermeture annuelle au mois de janvier. Ensuite, toujours un peu en hauteur, il reste plus horizontal, jusqu'à rejoindre la plage du Grand Sperone en évitant une impasse menant sur un green. C'est vers 14 h 15 que nous atteignîmes cette plage où nous fîmes une pause pour déjeuner jusqu'à 14 h 45. Très belle vue sur les îles Lavezzi et la Sardaigne !
Depuis la plage, le sentier remonte ensuite à nouveau en hauteur et atteint l'embouchure du ruisseau de Sperone après avoir traversé une partie du golf par un sentier pittoresque au milieu des greens. Il shunte ainsi complètement la pointe de Sperone et son amer... En cette saison, la traversée de l'embouchure du ruisseau demande un peu d'attention et d'insensibilité au froid. Nous arrivâmes ainsi aux ruines romaines de Piantarella à 15 h et pûmes contempler ces vestiges pas très spectaculaires, dont une partie est protégée dans une aire grillagée.
Ensuite, le sentier se dirige vers le Nord, avec l'île Piana sur sa droite, et atteint la plage de Piantarella. Cette plage est en ce moment largement colonisée par les posidonies et abrite un étang bien giboyeux en arrière-plan. L'étang, approvisionné par le ruisseau de Vionna, s'ouvre sur la mer par une embouchure qui nous imposa à nouveau de nous déchausser et de traverser en prenant quelques précautions. Il nous fût facile ensuite de parcourir le reste de la plage et de rejoindre l'embarcadère de Piantarella par une petite marche en bord de côte rocheuse. Arrivée à l'embarcadère à 15 h 25. Retour en footing depuis Piantarella jusqu'au sémaphore de Pertusatu en environ 30 minutes pour reprendre la voiture et nouvelle visite de Piantarella pour récupérer Nicole vers 16 h 15 avant de revenir à Sainte-Lucie... Encore une excellente journée malgré un temps moyen !
En conclusion : une randonnée littorale pas très sauvage et très spéciale, puisque souvent en bordure de résidences privées et du golf de Sperone. Mais elle donne accès à des vues assez originales de la région bonifacienne, avec quelques splendides calas et des îles sans rivales. A faire en dehors de la saison estivale où ce parcours doit sacrément côtoyer touristes, estivants et golfeurs...
L'horaire de cette balade depuis le sémaphore et en évitant notre exploration de départ vers la Cala di Labra : environ 2 h 30 à 3 h, sachant que près de 45 minutes sont perdus à contourner Ciappili. C'est donc une petite étape pour un éventuel trek qu'il faudrait au minimum prolonger jusqu'à Cala Longa pour en faire une étape normale. Ce fût d'ailleurs ainsi que nous eûmes l'idée de l'exploration suivante de notre séjour, comme raconté ci-après. Voir ci-contre à droite pour obtenir l'itinéraire complet de ce parcours.
Boucle littorale de Marina di Fiori à la tour de Santa Manza :
Encore une journée de perdu pour cause de mauvais temps et, de nouveau, une météo à peu près correcte pour ce 18 janvier, veille de notre départ pour la région parisienne... Afin de mettre en œuvre le projet né de notre dernier itinéraire, nous partîmes en voiture de Sainte-Lucie avec l'idée de rejoindre l'embarcadère de Piantarella et de poursuivre notre périple côtier amorcé à Campumoru. Mais, pour une raison qui doit sans doute tenir à la maîtrise des cartes routières par Nicole, au lieu d'arriver à Piantarella, nous avons bifurqué vers Cala Longa où nous sommes arrivés vers 12 h. Visite de la plage et recherche des sentiers locaux nous prîmes une quarantaine de minutes et, en remplacement de notre prolongation littorale depuis Piantarella, nous avons décidé d'improviser une boucle dans la presqu'île de Sant'Amanza (Santa Manza ?) partant d'un peu plus loin sur la piste menant à Majalone, montant à la tour de Sant'Amanza par la côte et revenant par la piste de la crête et la bergerie d'A Camarata.
Aussitôt dit, aussitôt lancé... Nous laissâmes donc la voiture à 12 h 50 sur un minuscule parking de la piste, à l'entrée d'une étroite sente permettant de descendre sur la côte à l'extrémité Sud des plages de Marina di Fiori . Nous avons commencé notre randonnée par la descente de la sente en longeant une propriété dont la maison avait été plastiquée. L'immobilier local semble d'ailleurs à hauts risques, puisque cette propriété n'est pas la seule dans le coin à avoir souffert du développement durable à la mode nationaliste corse : sur la piste, entre Cala Longa et notre parking, nous avions déjà croisé un hôtel dont les structures ne s'étaient pas remises de ce même traitement !
Nous atteignîmes très vite les plages de Marina di FIori que nous traversâmes en contemplant les sympathiques cailloux de l'île Porragia, située juste en face de ces plages. De superbes propriétés privées surplombent cette zone : nous aurons l'occasion de les voir de plus près (si l'on peut dire, compte tenu des mesures de sécurité mises en œuvre !) au retour.
Après Marina di Fiori, s'amorce une série de belles criques, dont la première semble être comme le jardin d'une résidence privée. Sur cette côte de Majalone, on peut soit passer par les plages des criques, soit les contourner dans le maquis par des sentes, ce qui devient assez vite obligatoire pour la dernière au moins. Nous arrivâmes ainsi vers 13 h 30 à une magnifique plage, abritant une source nichée au creux du sable, sur laquelle nous prîmes le temps de déjeuner et prendre des photos jusqu'à 13 h 50.
Un sentier continue au-delà de cette plage, plus ou moins en bordure de mer au départ, puis montant ensuite au fur et à mesure de la progression. Ce sentier, sans doute jadis utilisé et bien tracé, ne sert plus qu'épisodiquement et sa trace historique se perd sous des arbustes infranchissables, obligeant à utiliser des sentes de contournement pas très aisées. Bientôt, plus de sentier du tout mais une sorte de ligne de cairns ascendante que l'on peut suivre tant bien que mal jusqu'à la crête SE de la tour et une sorte de replat mi-pierres mi-herbes où nous fîmes une pause. De là, on aperçoit la raide crête rocheuse, dégringolant à l'Est de la tour, où se termine le tracé du sentier sur la carte IGN. Plutôt que de continuer dans cette direction, nous jugeâmes plus simple et plus rapide de monter directement à la tour, en gros NE puis N, en suivant notre première crête où d'ailleurs une ligne de cairns facilite l'ascension.
L'ascension s'est poursuivie sans encombres, dans un maquis relativement clément et dans un paysage de plus en plus féérique au fur et à mesure de la grimpette : spectacle grandiose de toutes ces îles de l'Est des bouches de Bonifacio, ... Gavetti, Porraggia, Ratino, Cavallo, Sperduto, Piana, Lavezzi, ... et ambiance claire-obscure sous un éclairage tamisé par l'arrivée progressive d'un amoncellement de nuages de mauvais temps ! Arrivée à la tour à 14 h 40, avec là encore un beau spectacle et des photos à gogo... En prime, une surprise dans la montée en croisant un immense troupeau de chèvres (celles d'A Camarata ?) qui prirent peur à notre vue et descendirent vers la côte ventre à terre.
Le retour se fit comme prévu par le sentier de la crête qui descend vers le SW depuis la tour et rejoint assez rapidement une piste descendante emmenant jusqu'à des maisonnettes aux alentours du lieu-dit A Camarata sur la carte IGN. A cet endroit, nous eûmes à résoudre le problème d'orientation posé par la recherche d'un sentier ramenant à la piste où notre voiture était parquée. En fait, il nous a suffit de prendre une piste sur la gauche, qui, au départ, semblait nous faire faire demi-tour : cette piste se prolonge par un sentier étroit et mal tracé qui monte vers l'Est à un petit col. Du petit col, un sentier descend à gauche vers la maison de Majalone et diverses sentes grossières (mais peut-être avons nous raté le sentier principal ?) sur la droite permettent de progresser entre des aires de cultures jusqu'à la piste de Majalone. Retour par cette piste, en contournant les nombreuses et mystérieuses propriétés privées de cette zone, jusqu'à notre parking à 15 h 40.
Nous profitâmes du retour en voiture pour aller jeter un œil à ce curieux site de la Punta di a Nava, sur la côte Ouest de la presqu'île de Santa Manza, que nous avions entrevu depuis la piste vers la bergerie...
En conclusion : une randonnée littorale beaucoup plus sauvage que la précédente, au moins autour de la tour, et avec des paysages plus marins et plus originaux que les golfes et golfs de Sperone ! L'accès par la piste ne doit pas être évident en été, mais la majeure partie du parcours devrait être peu fréquenté, même en saison. Attention à l'orientation pour le retour tel que nous l'avons pratiqué : la traversée de la crête n'est pas évidente si on se trompe de direction et de chemin...
L'horaire de ce parcours, uniquement pour la boucle telle que parcourue par nos soins : environ 2 h 30 à 3 h. Pour la suite d'un parcours littoral, il va falloir se creuser la tête pour la suite de la presqu'île de Santa Manza, car cela ne semble pas évident de rejoindre la côte Est depuis la tour. Voir ci-contre à droite pour obtenir l'itinéraire complet de ce parcours.
Commentaires
@Bry :
Un bien beau livre que vous mentionnez là :
Les Bouches de Bonifacio
Alain DI MEGLIO
Alain FREYTET - Illustrateur
Actes Sud Nature
Conservatoire du Littoral
Mai, 2004 / 10 x 19 / 48 pages
Coédition Dexia
ISBN 978-2-7427-4810-5
prix indicatif : 6, 60€
Merci !
Il existe, édité par le conservatoire du Litoral, paru dans la collection de DEXIA EDITIONS, un merveilleux récit invitant d'une manière très originel à découvrir la beauté des cites en suivant un parcours semblant à celui traité sur ce blog. Le petit ouvrage "Les Bouches de Bonifacio" - dont l'auteur-écrivain est Alain Di Meglio, Originaire de la ville Bonifacio -il enseigne à l'université de Corte -