Blog Corse sauvage - Mot-clé - Niolo - CommentairesBlog Corse sauvage associé au site Web Corse sauvage : Corse, nature et wilderness, le maquis, l'alpinisme, l'escalade, le canyoning ou canyonisme, les ravins et le ravinisme, la randonnée, la mer et le littoral, la musique et la polyphonie corses2024-03-28T08:17:41+01:00Corse sauvageurn:md5:503a9a83a6ecfb52ac96c0e1d3780cf1DotclearCircuit Lavigliolu - Bergeries du Valdu Niellu - PhEurn:md5:fc36e21b68a08a39fbc7ae7a037cb4f02014-07-03T00:06:01+02:002014-07-02T23:06:01+02:00PhE<p>@<a href="http://corse-sauvage.fr/?post/2014/06/13/Circuit-Lavigliolu-Bergeries-du-Valdu-Niellu#c6610" rel="ugc">Sylvain</a> :</p>
<p>Oui, pour une première randonnée avec Olivier, je dois dire qu'il n'avait pas concocté le circuit le plus facile, même si la boucle tient en 6h ! ;-)<br />
Effectivement, les genoux vont mieux que l'année dernière, même si ce n'est pas génial et demande impérativement d'être sous anti-inflammatoire... :evil:<br />
Ce sera peut-être une saison de plus sans prothèse ?<br />
Je vais sans doute essayer des galères de durée plus longue pour voir...</p>Circuit Lavigliolu - Bergeries du Valdu Niellu - Sylvainurn:md5:92a2ff0675470cbc6d994cc7436caed62014-07-02T21:05:43+02:002014-07-02T20:05:43+02:00Sylvain<p>Bonsoir Philippe,</p>
<p>Voilà une belle randonnée dans le Niolu, qui permet de découvrir un lac et plusieurs bergeries méconnues ! Au vu du terrain et du dénivelé, je constate avec plaisir que tes genoux ont bien résisté à cette épreuve du feu... Il y a quelques années, en redescendant de la Punta Artica vers Bocca à a Stazzona, je me souviens avoir aperçu ce petit Lac de Lavigliolu, la chaleur et la raide pente couverte d'aulnes (de mémoire) m'avaient dissuadé de tenter l'aller-retour depuis la ligne de crêtes !</p>
<p>Sylvain</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:c9e338ccee7cacdd465648806ea72bef2010-01-20T12:26:00+01:002010-01-20T12:26:00+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2520" rel="ugc">caro</a> :<br />
Au fait, tu ne m'as pas raconté ce que tu as fait ensuite après les vires Tafonatu/Scaffone : Focolara ? Saltare avec pause-arrêt à la bergerie ? autres parcours... ? LOL</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - carourn:md5:a890eae7fd06704c5bb44224f80d442b2010-01-20T11:18:27+01:002010-01-20T11:18:27+01:00caro<p>Vu ta vélocité en terrain incliné Philippe les raquettes ne devraient pas te poser beaucoup de problèmes, tu peux me croire !</p>
<p>J'espère que nous n'aurons pas trop mauvais temps car nous avons déjà pris nos billets sans tenir compte de ce facteur.<br />
La seule chose que j'appréhende vraiment c'est le retour au boulot direct lundi matin !</p>
<p>Pour en revenir au Saltare j'ai bien failli le faire cet été ( le surlendemain de notre rando sur les vires du Tafunato en Août )mais la rando prévue s'est fini par une sieste de 2h30 à la bergerie de Saltare..<br />
Tiens je me souviens qu'au deuxième gué à traverser ( qd on quitte la rivière et que l'on commence à monter en lacet ) se trouvait un mouflon mort ( super pour boire l'eau! ) et je m'étais fait la réflexion qu'il était étonnant qu'il soit descendu si bas.</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:fe1e819af38e2d69fdf520f4a9e43a182010-01-19T23:09:28+01:002010-01-19T23:15:04+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2517" rel="ugc">caro</a> :<br />
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Tu me rassures ! Je dois encore pouvoir jouer à ce jeu-là, alors... un pas devant l'autre, cela me convient bien... :razz: Mais la pelle pour les passages délicats, ce sera sans moi :!: LOL<br />
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Vous nous raconterez :-? ;-)</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Françoisurn:md5:1faf6fc9f0cafecffec44a67016df4222010-01-19T21:43:09+01:002010-01-19T21:43:09+01:00François<p>L"autre itinéraire" est celui qui rejoint aussi la bergerie des Mazze, mais plus bas que le premier qui, lui, est au pied des parois. Il n'était pas en très bon état la dernière fois que je l'ai emprunté, mais c'était il y a un bout de temps!</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - carourn:md5:c1f3280a6370846ba17ffe63432f8c822010-01-19T18:21:03+01:002010-01-19T20:50:22+01:00caro<p>Marcher avec des raquettes , il suffit de mettre un pas devant l'autre! Ce n'est qu'une marche sur neige avec assistance ; en fait, au bout de 5 mn on a pigé le truc.<br />
Cela nous est arrivé de gravir des pentes raides, en prenant son temps (car c'est épuisant) on y arrive et nous avons pourtant les raquettes les + basiques qui soient (pas de couteaux latéraux).<br />
Je dirais que c'est + délicat lors des dévers qu'avec une pente très raide.</p>
<p>Le premier janvier nous avons fait une superbe rando en raquettes jusqu'aux célèbres Tre cime (ds les Dolomites, notre petit paradis à égalité avec la corse !), + de 1000m de dénivelé quand même ! A un moment l'usage de la pelle pour tracer le passage ds un dévers délicat a été utile.</p>
<p>Pour Puscaghia nous prendrons corde et pelle par sécurité. Le Parc a déconseillé à Victor le passage par Capronale (trop exposé je crois). Nous irons par la piste de Serrierra à l'aller et le retour nous tenterons par bocca Felce (chemin que nous avions fait l'été à l'envers).</p>
<p>Il y aurait un autre itinéraire, suggéré éventuellement par le Parc, celui partant à gauche du col de cuccavera (Fabrikant n° 6 ou 7) mais comme nous ne l'avons jamais pris... je ne sais pas trop s'il faut s'y engager...</p>
<p>Depuis des jours, je rêve de griller du figatelli le soir à Puscaghia ....</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Françoisurn:md5:c0821032ee8c7fa362780ae20293c5df2010-01-16T22:35:30+01:002010-01-16T22:35:30+01:00François<p>Je vois que la Corse n'a rien à envier à Toulon ces jours-ci: le barrage du Revest est archi-plein, son trop-plein dégueule abondamment, c'est dire!</p>
<p>Je pratique un peu les raquettes, le seul problème (mais qui peut être de taille), c'est, comme tu le soulignes, la traversée par forte pente: les raquettes n'ont pas de carres, c'est pourquoi il faut privilégier celles qui ont des couteaux latéraux, et qui ne se contentent pas de pointes; mais ça reste quand même inconfortable sur de forts dévers. Ceci étant, elles permettent de faire de la randonnée d'hiver, avec les mêmes exigences de prudence que le ski vis-à-vis des avalanches (surtout avec tout ce qui est tombé ces jours-ci).</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:4fc701e4d179bf5841c147c28cc820ae2010-01-15T11:21:56+01:002010-01-15T11:21:56+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2494" rel="ugc">caro</a> :</p>
<p>Salut Caro ! Vous avez déjà fait de la raquette ? Je me demande si cette activité, que je ne pratique pas, nécessite un peu d'expérience ou si la progression sur ces machins est seulement celle de la marche en neige : jusqu'à quelle pente peut-on monter ou descendre par exemple ? comment exécute-t-on des traversées en pente raide ? etc...<br />
<code></code><br />
Notre séjour en cours à Sainte-Lucie s'avère très bénéfique : enfin, nous avons l'occasion de découvrir la Corse par (très) mauvais temps :!:<br />
Bon, cela ressemble un peu à la Bretagne par beau temps et c'est aussi humide. Ce matin, nous en sommes à 24 heures de pluies continues qui n'ont rien à voir avec les orages de l'été.<br />
Nous avons simplement réussi à faire deux randonnées : la remontée du Mela (parce que nous n'avons pas trouvé le moyen de traverser le ruisseau à gué comme projeté : les traversées de ruisseaux sont très problématiques en ce moment, sauf à se déchausser et encore !) et une petite randonnée littorale terminée sous la pluie à la tour de Sponsaglia et à Porto Novo au Sud de Porto-Vecchio...<br />
La neige est tombée sur Bavella et le Haut Cavu jusqu'à 800 m environ, mais il fait 12°C environ sur le littoral !<br />
A+ et bonne chance pour vos vacances de février où je ne pourrais vous accompagner puisque occupé entre le ski et la région parisienne. :-/</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Françoisurn:md5:bc36a0bc580ea00c495ba996cf23f3982010-01-14T23:16:23+01:002010-01-14T23:16:23+01:00François<p>Par Serriera? Ce serait moins long par Capronale...</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - carourn:md5:83e115775f94fc356bd996767c28a5a72010-01-14T23:00:01+01:002010-01-14T23:00:01+01:00caro<p>bonjour tout le monde !</p>
<p>Excellent récit de David qui en outre nous a confirmé qu'il y a matelas et cheminée disponibles au refuge de Puscaghia. Information capitale car nous partons le dernier week end de janvier pour 2 jours de raquettes afin d'aller dormir à Puscaghia. Après y être allé à pied et à vtt , les raquettes constitueront une première ! On vous racontera mais , hélas, par mesure de sécurité le parc nous a conseillé d'y aller par Serriera.... moi qui rêvait de Firulettu sous la neige ...( par Bocca Felce cela me semble possible aussi)</p>
<p>Si certains d'entre vous aimeraient faire un tour de raquettes en Février tenez moi au courant ( congé du 6 au 12 )</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:98215f8705c24beb6e8858f865b515eb2010-01-14T18:18:37+01:002010-01-14T18:31:17+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2487" rel="ugc">François</a> :<br />
J'ai bien rigolé aussi en lisant les articles de David sur son blog concernant son dernier trip en Corse... LOL Je n'ai pu m'empêcher de lui laisser un commentaire sur le Saltare où il aurait effectivement pu éviter quelques galères en en lisant le topo sur mon site Web avant de partir :!: Mais, bon, si on aime l'aventure complète, why not :-?<br />
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Le poids de 25 kg sur le dos était tout à fait standard dans les années 70 et 80 : je me souviens d'avoir fait le tour de l'Oisans avec 25 kg sur le dos, à deux avec bouffe 4/5 jours, crampons, piolets, tente, etc... Là, en solo, en hiver ou presque, avec du vieux matériel, cela correspond à cette époque et il avait aussi sans doute crampons/piolet. C'est sûr qu'aujourd'hui tout le monde (et pas que les vieux !) réfléchit à moins porter... et c'est tant mieux :-)<br />
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Après les descriptions de David sur l'Islande, cela me paraît très clair que je ne suis pas mûr du tout pour des treks dans ce coin... même si c'est plat ! <img src="https://corse-sauvage.fr/perso/public/images/Emoticones/Froid3.gif" alt="Emoticones" title="Emoticones" /></p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Françoisurn:md5:816d771ba8edb2bd12c4eced61a62e2a2010-01-14T16:44:27+01:002010-01-14T16:44:27+01:00François<p>27 kg , c'est toute la différence entre un bigfoot dans la force de l'âge, et un ancien comme moi qui rechigne au-delà de 15 kg.. Inutile de te dire qu'en faisant mon sac, l'instrument que j'utilise le plus est la balance de cuisine de ma chère épouse; j'ai un devis de poids détaillé de mon sac, mais qui ferait encore rigoler Olivier de MUL. Il est vrai que je n'en suis pas encore au tarp pour dormir.<br />
Mais je n'ai pas non plus 15 j d'autonomie, plutôt 3 au maximum. En évitant les boîtes de conserve, qui pèsent lourd et dont il faut ramener les emballages puants. Cela me rappelle Matthieu et sa panoplie de pâtés...</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - bigfooturn:md5:7ca52e803c9100b7a4735c1b365cccd62010-01-14T12:30:10+01:002010-01-14T12:30:10+01:00bigfoot<p>merci pour le comm.</p>
<p>quant aux 27kg au départ...<br />
1/ j'ai du vieux matos que j'use jusqu'à la corde avant de le changer. à l'époque, je n'avais pas prévu d'assu longuessrties d'où l'accumulation de matéreil plutôt lourd.<br />
2/ j'avais envie d'autonomie alimentaire et d'éviter dans la mesure du possible de faire des étapes dans les villages (bon, il n'en a rien été) donc j'avais dans mon sac pour trois semaines de lyo et de peits déj composés pour mon gout délicat, plus une semaine de cacahuètes:-/</p>
<p>après deux semaines, je n'en avais plus qu'une une petite vingtaine sachant qu'il me restait encore une petite semaine de vivres.</p>
<p>NB: je suis copain avec olivier, un des fondateurs du site des MUL, gros traverseur d'islande comme moi. il se marre bien des galères de poids.</p>
<p>enfin,mes treks ne sont pas vraiment sérieux. il suffisait d'être opiniatre pour enchainer les cols. j'ai fait demi tour à chaque fois que ça devenait sérieux. pas là pour se fatiguer, non mais oh... juste du contemplatif.</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Françoisurn:md5:3cc19712dea1ba024a36a4dda86e35e22010-01-14T10:29:51+01:002010-01-14T10:29:51+01:00François<p>Excellente, la littérature de Bigfoot! On rigole bien, ce qui n'enlève rien au sérieux des treks présentés. Tout de même, 27 kg sur le dos, il faudrait peut-être aller faire un tour chez "Randonnez léger".<br />
Raquettes en Corse en février, pourquoi pas? Mais pas de ski pour moi, j'aurais trop la pétoche de me tordre un genou...</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:6e1bad8e38f3d6c30cf1532df7ecf05b2010-01-11T11:34:05+01:002010-01-11T12:49:31+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2476" rel="ugc">bigfoot</a> : </p>
<p>Salut David,<br />
Tes photos et l'humour de tes récits "bloguesques" ont sans doute plu aussi aux visiteurs de Corse sauvage, comme à moi-même... :-)<br />
Je vais de ce pas aller consulter tes derniers écrits insulaires :!:<br />
A+ 8-)</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - bigfooturn:md5:7a6e0ac9c67e6523278feba1d1c9e7a82010-01-11T02:49:40+01:002010-01-11T02:49:40+01:00bigfoot<p>bonjour,</p>
<p>je vois qu'on dit beaucoup de bien de moi ici, je crois que je vais m'y plaire.</p>
<p>ce petit post pour annoncer avec fierté que le récit pour la Corse est terminé...</p>
<p>bon, mes "aventures" sont sans rapport avec vos différentes sorties dans les vires et travers de la montagne corse mais merci pour vos commentaires bien agréables pour mon petit e(scar)go(t).</p>
<p>david<br />
<a href="http://bigfoot.over-blog.org/article-sommaire-corse--40909858.html" rel="ugc"></a></p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Eckardurn:md5:6151ec0f996c2273d74dbb34bec9aa0a2009-12-14T16:24:11+01:002009-12-14T16:24:11+01:00Eckard<p>Je reste admiratif devant ces belles photos d'un Tafunatu "sucre de glace" prises par David et son récit d'un périple de 15 jours dans le nord de la Corse, fin novembre/début décembre. Chapeau !!! Et tout ça avec un sac de 27 kg, en solo et dans des conditions parfois hivernales, à une période de l'année où je préfère rester dans la chaleur douillette de mon appart. Il manie le verbe aussi bien que les bâtons de randonnée, et j'ai beaucoup aimé sa narration, pleine d'humour, de ses aventures. En attendant la suite...</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - PhEurn:md5:ca2d46f60016b06054a36d46c63036372009-12-14T14:30:59+01:002009-12-14T14:30:59+01:00PhE<p>@<a href="https://corse-sauvage.fr/?post/2009/11/17/Vires-trompeuses-et-ar%C3%AAtes-abyssales-%3A-un-r%C3%A9cit-d-errances-niolines...#c2286" rel="ugc">Georges</a> :<br />
La "Brèche des Parisiens" ne peut être que le raccordement de l'arête S/SW au dôme terminal : il correspond bien à une brèche puisque l'on redescend un peu après l'arête et c'est là que nous avons pris ensuite sur la gauche une sorte de cheminée malcommode précédant le pas encordé.<br />
Lors de ma 1ère visite à cette brèche où j'avais déjeuné (1983), j'avais même visité toute la face S en utilisant une vire à partir de là qui m'a presque mené jusqu'à l'arête SE de Bocca Rossa... Puis, finalement, en revenant, j'avais trouvé cet itinéraire évident sur la gauche démarrant par la cheminée ! Mais, effectivement, cet itinéraire est bien à la gauche du dôme terminal de la face S :!: ... et retrouve le haut de la face Ouest à l'approche du sommet :-)</p>Vires trompeuses et arêtes abyssales : un récit d'errances niolines... - Georgesurn:md5:21319b0d4eb4b822796cd832edfd27ad2009-12-13T20:54:10+01:002009-12-13T20:54:10+01:00Georges<p>Sommes nous passés par cette "Brèche des Parisiens" (que Google ne connait pas à ce jour) ? il me semble bien que nous sommes passés dans une petite brèche non loin de la jonction, mais est-ce celle-ci ?<br />
La trace GPS donne schématiquement le trajet suivant au départ de la jonction (2480m) :<br />
2480m > cap 055 pendant 100m > 2510m (nous sommes plein sud du S.)<br />
2510m > cap 360 pendant 040m > 2530m (toujours plein sud du sommet)<br />
2530m > cap 320 pendant 035m > 2545m (nous sommes plein ouest du S.)<br />
2545m > cap 090 pendant 030m > 2556m<br />
Selon un schéma du Fabrikant, la Brèche se trouverait sur notre trajet à environ 40 mètres de la jonction... et par la suite on aurrait donc bien gravi le haut de la face sud avant de traverser vers la face ouest...</p>